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Forum MentalSlim

Moral et motivation

jeanine52 (deluz, 25) Posté le 02-02-2011 à 11:21 | Signaler un abus

jeu:"l'Alphabet des qualités"


Sur l'idée de cécileneuville je lance un "challenge"

lister toutes les qualités existantes pour chacune des lettres de l'alphabet.

Allez les filles au boulot !!!!

Je commence par la lettre A

Appliquée


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Toutes les réponses à ce message :

janine25 (25) Posté le 17-10-2012 à 10:29 | Signaler un abus

Une affaire de famille

C'est en 1867 qu'Emmanuel Lipmann a l'idée de fonder un atelier. Accompagné d'une quinzaine d'horlogers, il va lancer en 1896 le "Chronomètre Lip". Cette désignation s'inscrit alors sur tous les cadrans des montres produites par l'horlogerie.

Dans les années 1930, ce sont les petits-enfants d'Emmanuel qui ont repris l'affaire. En 1931, la société devient "Lip SA" et compte 350 salariés. C'est Fred Lip qui tient alors les rênes. Au même moment, l'horlogerie fabrique pour l'aviateur Jean Mermoz une montre de bord de grande précision, la "Type 10", plus connue sous le nom de la "Croix du sud".
Lip


Lip, horloger d'avant-garde Photo © Pierre Grise Distribution



Pendant la guerre 39-45, les parents des nouveaux dirigeants de Lip sont déportés. Il ne reviendront pas d'Auschwitz. L'entreprise déménage dans le centre de la France, puis au sud, à Valence. A la fin du conflit, Lip revient à Besançon et reconstruit son usine. La "T18" sort alors des ateliers. Calibre d'une grande modernité, un modèle tout en or est offert à Sir Winston Churchill en 1948.

4 ans plus tard, l'entreprise invente la première montre électrique. Baptisée "Electronic", elle est offerte au Général de Gaulle et au président Eisenhower. En 1960, une nouvelle usine est inaugurée à Besançon-Palente afin de regrouper les ateliers. Lip est alors la plus grande marque horlogère que la France n'ait jamais connu.

Les années 1960 marquent aussi le début des difficultés pour l'entreprise familiale. Pourtant, les premiers prototypes français de mouvements à quartz électroniques sont créés à l'usine en 1971, et les premières montres produites.

mimaja (Q, 21) Posté le 17-10-2012 à 09:41 | Signaler un abus



L comme... famille LOUIS-DREYFUS
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Les Louis-Dreyfus sont une famille d'entrepreneurs, fondateur en 1851, du groupe Louis Dreyfus.

* Gérard Louis-Dreyfus (1932-), homme d'affaires français ;
* Julia Louis-Dreyfus (1961-) actrice et humoriste américaine ;
* Léopold Louis-Dreyfus (1833-1915), homme d'affaires, fondateur du groupe Louis Dreyfus ;
* Louis Louis-Dreyfus (1867-1940), homme politique ;
* Margarita Louis-Dreyfus, femme d'affaires russe et actuelle actionnaire majoritaire de l'Olympique de Marseille ;
* Philippe Louis-Dreyfus (1945-), homme d'affaires français, président du groupe Louis Dreyfus Armateurs ;
* Pierre Louis-Dreyfus (1908-2011), homme d'affaires français ;
* Robert Louis-Dreyfus (1946-2009), homme d'affaires franco-suisse, ancien actionnaire majoritaire de l'Olympique de Marseille.
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Photo : Julia Louis-Dreyfus prend la pose en famille lors de l'inauguration de son étoile sur le Walk of Fame le 04 mai 2010 à Hollywood

Jakline33 (CRETEIL, 94) Posté le 16-10-2012 à 13:25 | Signaler un abus



Famille KENNEDY (suite)

Son frère Edward Moore Kennedy (dit "Ted" ) ( 1932-2009) est sénateur de l'Etat du Massachusetts

Le fils de celui-ci Patrick Joseph Kennedy II (1967-) est représentant du Rhode Island depuis 1994.

Kathleen Hartington Kennedy (1951-) fille de Robert Kennedy fut lieutenant-gouverneur du Maryland de 1995 à 2003.

Le frère de celle-ci Joseph Patrick Kennedy II (1952-) fut représentant du Massachusetts de 1987 à 1999.

John Fitzgerald Kennedy Junior dit "John-John" (1960-1999) fils du président John F. Kennedy devint quant à lui procureur adjoint de l'Etat de New York et fut le fondateur du journal George.



Jakline33 (CRETEIL, 94) Posté le 16-10-2012 à 13:09 | Signaler un abus



K comme KENNEDY

Le clan Kennedy fut fondé à l'occasion du mariage de
Joseph-Patrick Kennedy (18888-1969) et de Rose Elisabeth Fitzgerald (18901995)
Joseph-Patrick était le fils de Patrick-Joseph (1858-1929) et Rose de John-Francis Fitzgerald (1863-1950)
Ils étaient devenus membres du parti démocrate,et étaient considérés comme les deux plus célèbres homme politiques de la communauté irlandaise de Boston.
En effet, Patrick Kennedy était membre de la Chambre des représentants et du Sénat du Massachusetts, tandis que John Fitzgerald était maire de la ville de Boston et membre du congrès.

Joseph Kennedy quant à lui devint ambassadeur des Etats-Unis au Royaume-Uni

Joseph et Rose Kennedy eurent 4 fils et 5 filles élevés dans la foi catholique.

Après la mort de leur fils ainé Joseph-Patrick Junior ils fondèrent leurs espoirs sur son puiné
John-Fitzgerald Kennedy (1917-1963) il devint le plus jeune président des Etats-Unis en 1961 et le premier (et unique jusqu'à présent) de confession catholique.

Après son assassinat en 1963,
son jeune frère Robert Francis Kennedy (dit Bobby ou Bob) (1925-1968) devint le chef de famille.
Robert Kennedy qui était attorney général devint sénateur de l'Etat de New-York, se présenta à son tour à la présidence mais fut assassiné à son tour assassiné pendant la campagne.

Jean Ann Kennedy (1928-) dernière fille fut ambassadrice des Etats-Unis en Irlande.

( à suivre )




janine25 (25) Posté le 16-10-2012 à 07:49 | Signaler un abus

K comme Karamé


La famille Karamé (Karami) est une des plus grandes familles du Liban. C'est une famille sunnite originaire de Tripoli.

Abdel Hamid Karamé (1890-1950) - l'ancien premier ministre du Liban.
Rachid Karamé (1921-1987) - l'ancien premier ministre du Liban.
Omar Karamé (1934-) - l'ancien premier ministre du Liban.
Ahmad Karamé - homme politique libanais.
Faisal Karamé - ministre de la Jeunesse et des Sports du Liban.


mimaja (Q, 21) Posté le 16-10-2012 à 04:49 | Signaler un abus



K comme... famille KRUPP (de sinistre mémoire... moins belliqueux aujourd'hui)
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Industriels allemands.

Alfred (Essen 1812-1887) prit à 14 ans la direction de la modeste fonderie d'acier paternelle, fondée en 1811, mit au point en 1847 un procédé de production de l'acier, réalisa la fabrication de canons et introduisit sur le continent, en 1862, le procédé Bessemer. Son entreprise était devenue l'une des plus puissantes de l'époque.

Son fils, Friedrich Alfred (Essen 1854-1902), acquit de très grands chantiers navals à Tegel (1902). Il fut membre du Reichstag de 1893 à 1898.

Bertha (Essen 1886-1957), fille du précédent, lui succéda à la tête de l'entreprise.

Gustav, baron von Bohlen und Halbach (La Haye 1870-1950), épousa Bertha en 1906 et devint directeur de l'entreprise, qui eut le quasi-monopole de l'armement lourd pendant la Première Guerre mondiale. Au lendemain de l'armistice de 1918, Gustav Krupp convertit ses usines pour des fabrications civiles, et investit des sommes considérables dans l'industrie chimique de synthèse, et constitua un ensemble minier et métallurgique qui fut l'une des pièces de l'économie de guerre allemande.

Alfred Krupp von Bohlen und Halbach (Essen 1907-1967), fils des précédents, succéda à son père en 1943, et fut contraint à recentrer les activités de son groupe. Celui-ci figure encore aujourd'hui parmi les premières sociétés industrielles allemandes, surtout depuis sa fusion en 1998 avec Thyssen AG


janine25 (25) Posté le 15-10-2012 à 21:42 | Signaler un abus

J comme JOUVENEL DES URSINS


La famille Jouvenel des Ursins ou Juvénal des Ursins est une famille noble française éteinte depuis le milieu du XVIIe siècle.

Elle a donné un maire de Paris en 1388, un chancelier de France, ainsi que Jean, évêque de Beauvais puis de Reims, qui entreprendra le procès de réhabilitation de Jeanne d'Arc.

Cette famille de robe ne doit pas être confondue avec la célèbre famille Orsini, désignée aussi en français comme famille des Ursins, avec laquelle elle n'a aucun lien généalogique.



Jean Jouvenel des Ursins (vers 1360 - Tours 1431), homme politique français, prévôt des marchands de Paris (1388), président à mortier au parlement de Paris;
Jean II Jouvenel des Ursins (1388-1473), fils du précédent, historien, diplomate et prélat français.
Guillaume Jouvenel des Ursins (1401-1472), frère du précédent, homme politique français ;
Jacques Jouvenel des Ursins (1410-1457), frère du précédent, ecclésiastique français ;
Michel Jouvenel des Ursins (né en 1408), frère du précédent ;
Christophe Juvénal des Ursins (mort en 1588), gouverneur de Paris


Jakline33 (CRETEIL, 94) Posté le 15-10-2012 à 15:15 | Signaler un abus



Famille JAPY (suite )

En 1979, la dernière société JAPY est mise en liquidation.
Le musée Frédéric JAPY ouvert en 1986 fait revivre toute une époque industrielle.

Membres notables :

Frédéric JAPY (1749-1812) fondateur de la dynastie industrielle.
Henry Japy (1848-1935) industriel et chevalier de la légion d'honneur.
Adolphe Japy (1812-1897) industriel, chevalier de la légion d'honneur et maire de Beaucourt.
Gaston Japy (1854-1936), chef d'entreprise et sénateur du Doubs.
Frédéric (Pierre) Japy (1826-1904) général et sénateur du Territoire de Belfort
Marguerite Steinheil-Japy, lady Marguerite Brooke Campbell, Baronne Abinger (1869-1954), figure de la vie parisienne et maîtresse de Félix Faure, Président de la République.
André Japy (1904-1974) aviateur
Patrice de Maistre (1949) gestionnaire de patrimoine et Dr Général de la Sté Téthis.
Charlotte de Turckeim (1955) actrice et réalisatrice.


.




Jakline33 (CRETEIL, 94) Posté le 15-10-2012 à 14:55 | Signaler un abus



J comme JAPY

La famille JAPY est une dynastie industrielle française originaire de Beaucourt dans le territoire de Belfort.
Elle possédait la deuxième entreprise française durant le second empire.
Ses membres influents ont marqué le paysage industriel français par l'apport de nombreuses innovations dans le domaine technique mais aussi dans l'organisation du travail et la vie sociale et ouvrière de XIX° siècle.

Tout est parti d'un petit atelier fondé en 1777 par Frédéric JAPY où celui-ci renouvelle et mécanise le procédé traditionnel de l'établissage pratiqué dans le Jura par la profession horlogère. Du mouvement de montres JAPY est passé aux pendules et s'est diversifié dans l'outillage, moteurs, pièces de bicyclettes, luminaires, meubles de jardin, pompes, moulins à café, machines à écrire etc ...
Les années 1880 ont marqué l'âge d'or de JAPY.
Près de 5 000 ouvriers travaillent dans les Usines Japy de la région.
La FAMILLE s'est faite construire treize châteaux sur Beaucourt et Dasle.

En 1921 une partie du capital s"échappe de la famille.
De 1930 à 1935, une grave crise sévit dans toute la France, le chômage s'étend ...
Le conseil d'administration réorganise tous les services, l'usine de Badevel est abandonnée en 1933
La Sté JAPY réussit le lancement des machines à écrire en Europe au début du XX° siècle mais perd sa prédominance sur l'innovation industrielle.

( à suivre)





mimaja (Q, 21) Posté le 15-10-2012 à 07:47 | Signaler un abus



J comme... JAURÈS
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Auguste Marie Joseph Jean Léon Jaurès, est né à Castres en 1859 dans une famille de la petite bourgeoisie (dont sont issues de brillantes carrières comme celle de Benjamin Jaurès, amiral et ministre de la marine en 1889).
Son père, Jules Jaurès (1819-1882), négociant n'a pas réussi et se replie sur une petite exploitation agricole où son fils passe son enfance jusqu'à 17 ans. C'est une époque où il connaît une certaine gêne qui lui fait toucher du doigt les difficultés du peuple Sa mère, Adélaïde Barbaza (1822-1906), s'occupe des 2 enfants : Jean l'aîné, et Louis (1860-1937) qui devint amiral et député républicain-socialiste.

Jean Jaurès fait ses études au lycée Louis-le-Grand. En 1878, il est reçu 1er à l'ENS en philosophie, et termine 3e à l'agrégation.
Il enseigne tout d'abord au lycée Lapérouse d'Albi, puis rejoint Toulouse en 1882 pour exercer comme Me de conférences à la faculté des lettres. Il donne un cours de psychologie au lycée de jeunes filles.

Il se marie le 29 juin 1886 avec Louise Bois (1867-1931), fille d'un marchand d'Albi, avec qui il a 2 enfants :
• Madeleine, née le 19 septembre 1889, décédée en 1951, mère de J.-J. Delaporte (1910-1931)
• Louis Paul, né le 27 août 1898 à Nontron (Dordogne). Engagé volontaire en 1915 à 18 ans, au 7e régiment de dragons, il est tué le 3 juin 1918 à Pernant (Aisne), lors de la seconde bataille de la Marne, et figure au Tableau d'honneur de la Grande Guerre, sous le prénom Paul




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