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Blog de Jean-Michel Gurret

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Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 8-juillet-2015
L'excès de sel, 1,6 million de morts par an ?

En consommer trop augmente la pression artérielle. Mais le risque réel reste difficile à chiffrer, tant les variables sont nombreuses.

Chaque année, les maladies cardiovasculaires dues à l'excès de sel tueraient plus d'un million et demi de personnes dans le monde. Tel est le chiffre, vertigineux, avancé par des chercheurs dans une étude publiée dans le New England Journal of Medicine (NJEM).

Dans un travail «herculéen», dixit l'éditorial signé dans la même revue par le Pr Suzanne Oparil, «papesse» américaine de l'hypertension, les chercheurs ont tenté de répondre à trois questions: quelle est la consommation réelle de sodium dans le monde? Diminuer cette consommation permettrait-il de baisser le risque d'hypertension? Enfin, quel effet la baisse de la pression artérielle a-t-elle sur la mortalité?

Le sel est de longue date accusé d'être un redoutable tueur tapi dans nos assiettes. L'Organisation mondiale de la santé recommande un apport quotidien de 2 grammes de sodium, soit un peu plus de 5 grammes de sel de table. Mais l'usage irraisonné de la salière ne compte que pour à peine 10 % de nos apports ; car si le froid a remplacé le sel dans la conservation des aliments, en revanche pain, fromages, charcuteries, fast-food et plats
industriels regorgent de sel.

Presque deux fois trop de sodium consommés

Les auteurs ont donc voulu estimer la quantité réelle ingérée par la population. L'examen de plus de 205 études a montré que les adultes consommaient en moyenne 3,95 grammes de sodium par jour, 99,2 % de la population mondiale se situant au-dessus des recommandations de l'OMS. Par ailleurs, d'après deux méta-analyses menées sur des études d'intervention, ils ont calculé que la réduction de l'apport en sodium était bel et bien associée à une baisse de la pression artérielle. Conclusion des auteurs: réduire la consommation de sel permettrait d'éviter chaque année 1,65 million de morts cardiovasculaires, dont plus de 40 % chez des moins de 70 ans.

«C'est une estimation à la louche, estime le Pr Jacques Blacher, cardiologue et épidémiologiste à l'Hôtel-Dieu (Paris). Les auteurs ont fait un énorme travail, et le chiffre qu'ils avancent est sans doute le plus proche de la réalité parmi toutes les études consacrées à la question. Mais il est très compliqué de chiffrer précisément le nombre de morts dues à l'excès de sel.» Car les effets de la consommation de sel sur la pression artérielle, et de cette dernière sur la mortalité, ne sont pas les mêmes selon que l'on est un homme ou une femme, selon notre âge, la couleur de notre peau (les Noirs seraient plus sensibles, sans doute pour des raisons hormonales), etc. Le poids compte aussi, au point, précise Jacques Blacher, que «certains considèrent que l'on ne devrait parler de la consommation de sel que rapportée à la consommation calorique globale».

Le rôle protecteur du potassium

Autre facteur confondant, évoqué par une autre étude publiée dans la même revue: la quantité de potassium consommée. La pression artérielle d'un gros mangeur de fruits et légumes, lesquels contiennent une forte quantité de potassium, est en effet moins sensible à l'excès de sodium que celle de son voisin qui avalerait autant de sel, mais sur des chips.

La question du «trop peu» fait également débat. Des chercheurs ont observé que les très petits consommateurs de sel voyaient, eux aussi, leur risque cardiovasculaire augmenter. «Mais un Français en bonne santé qui mange de manière normale n'a aucun risque de manquer de sel», précise le Pr Raymond Ardaillou, néphrologue et auteur en 2005 d'un rapport sur le sujet à l'Académie de médecine.

Même les singes y prennent goût

En revanche, le sel devient vite une mauvaise habitude. Le Pr Ardaillou se souvient ainsi d'une étude qu'il avait menée dans les années 1990 auprès de chimpanzés. Les chercheurs avaient ajouté du sel à l'alimentation des singes, qui en est normalement dépourvue ; 18 mois de ce régime avaient fait grimper leur pression artérielle, revenue à la normale à l'arrêt de l'expérience ; mais les singes s'étaient habitués au sel et protestaient quand on leur proposait des repas non salés! C'est notamment pourquoi il faut éviter de saler les plats des enfants, même lorsque (après 3 ans) leurs reins ont acquis une maturité suffisante pour éliminer le sodium consommé à outrance.

«Il est certain que l'excès de sodium augmente la mortalité, et il faut continuer à faire pression sur les industriels pour qu'ils cessent de nous imposer une telle surconsommation. Mais il n'est pas sûr qu'une baisse généralisée de la consommation permettrait d'éviter autant de morts que le dit l'étude du NJEM», précise cependant Jacques Blacher. Le cardiologue appelle donc de ses vœux «une expérimentation grandeur nature, pour savoir si réduire le sel dans l'alimentation permettrait réellement de réduire la mortalité, et chez qui. On a désormais besoin d'une certitude, pour voir si le sel n'est pas, finalement, l'arbre qui cache la forêt.»

Lu sur sante.lefigaro.fr

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posté le 6-juillet-2015
Quel effet la CAFÉINE a-t-elle sur le CERVEAU ?

Rien de tel qu'un petit café pour vous booster dès le matin ou après un déjeuner copieux. Mais connaissez-vous vraiment les mécanismes d'action de la caféine, et ses effets sur votre organisme ?

Vous faites peut-être partie de ces nombreuses personnes pour lesquelles prendre une tasse de café est l’une des étapes fondamentales d’une bonne journée. Mais savez-vous exactement pourquoi le café vous rend si énergique et vous permet de tenir le rythme, même après une courte nuit de sommeil ?

Comme tous les psychotropes, la caféine agit sur certains récepteurs de votre cerveau. Elle vous tient éveillé, et stimule dans le même temps votre production d’adrénaline et de dopamine. Et comme toutes les autres drogues, elle peut vous tuer si vous la consommez de manière abusive. Mais rassurez-vous, il est peu probable que cela vous arrive un jour, même si vous êtes un gros buveur de café.

La caféine empêche l'état de somnolence

La caféine est la substance psychoactive la plus consommée dans le monde, la plupart du temps de manière quotidienne. Aux États-Unis, elle est reconnue par la Food and Drug Administration comme une substance alimentaire à buts multiples généralement sans danger… aux doses habituelles. Sa première source est la graine du caféier, à partir de laquelle le café est infusé, mais elle est aussi présente dans le thé et le cacao.

Elle est aussi un ingrédient de certains sodas comme le Coca-cola, et de boissons énergisantes. Mais pourquoi consommons-nous tant de caféine, principalement sous la forme de café ? La réponse repose dans notre cerveau, et plus particulièrement dans ses récepteurs membranaires. Quand ces protéines détectent une molécule spécifique, elles déclenchent une cascade de réactions biochimiques. Ainsi, certains de ces récepteurs réagissent à la présence d’adénosine, une substance libérée par les neurones.

L’adénosine se fixe sur ses récepteurs dédiés, et son rôle est de protéger le cerveau en ralentissant l’activité nerveuse, de manière à nous faire entrer dans un état de somnolence. Elle dilate également nos vaisseaux sanguins pour permettre une meilleure oxygénation du cerveau durant le sommeil. C’est donc l’adénosine qui est responsable de notre envie de dormir à la fin de la journée. Et il se trouve que la caféine possède une structure similaire à celle de l’adénosine.

Ceci lui permet de se fixer sur les récepteurs à adénosine, et de bloquer l’action de cette dernière. Au lieu de ressentir une fatigue progressive, après avoir bu une tasse de café, nos cellules s’emballent et nos vaisseaux sanguins se contractent.

La production d'adrénaline et de dopamine stimulée

En réaction à cette activité nerveuse intense, l’hypophyse relâche des hormones qui font produire davantage d’adrénaline par les glandes surrénales. Également appelée hormone de combat-fuite, l’adrénaline est généralement sécrétée en réponse à un état de stress ou en vue d’une activité physique.

Elle déclenche un grand nombre de réactions physiologiques, comme la dilatation des pupilles, des bronches, l’accélération du rythme cardiaque, de la vitesse des contractions du cœur, une hausse de la pression artérielle, ou encore un renforcement musculaire. Ce qui explique qu’après une bonne tasse de café, vous vous sentiez excité, que votre coeur batte plus vite et que vos muscles soient tendus.

Mais ce n’est pas tout : comme l’héroïne et la cocaïne, la caféine ralentit la réabsorption de la dopamine, un neurotransmetteur activant les zones du cerveau liées au plaisir. C’est ce mécanisme qui contribuerait à rendre la caféine addictive, selon les chercheurs.

L'addiction au café, un cercle vicieux

Que se passe-t-il lorsque les effets de votre tasse de café disparaissent ? La fatigue reprend le dessus, et vous sentez généralement une petite baisse de moral. Bien sûr, une autre tasse peut vous remettre sur les rails, mais est-ce bien raisonnable de passer la journée dans un état d’excitation constante ? C’est lorsque vous allez vouloir vous coucher que les effets de la caféine vont se faire le plus sentir, et pas de manière très agréable.

Il faut 6 heures à votre corps pour éliminer la moitié de la quantité de caféine ingérée. Si vous buvez une bonne tasse à 15h, contenant 200mg de café, il vous restera 100mg de caféine dans votre organisme à 21h. L’adénosine ne pourra toujours pas entrer en action, et votre sommeil s’en trouvera perturbé. Même si vous parvenez à vous endormir, votre nuit ne sera pas très bénéfique. Le lendemain, vous vous réveillerez encore plus fatigué, avec une forte envie de café. Et ainsi de suite…

Une drogue sans danger... si consommée avec modération

Mais il est dans les faits impossible de mourir d’un excès de caféine. Comme l’explique la vidéo ci-dessus, la dose mortelle de café est d’environ 150mg par kg de poids corporel. Par exemple, si vous pesez 70kg, il faudrait que vous ingériez 14.000mg de caféine pour faire une overdose. Une tasse de café contenant en moyenne 150mg de caféine, il faudrait que vous en buviez 70 tasses… en même temps !

Ce qui est impossible, puisque votre estomac ne supporterait pas une telle quantité de café. Sans compter que vous auriez vite des hallucinations. Si vous arrêtez de consommer du café, vous pouvez ressentir des symptômes de manque, incluant fatigue, baisse de moral, maux de tête, nausées, etc. Si vous avez l’habitude de boire deux ou trois tasses par jour, ces symptômes devraient disparaître au bout d’une dizaine de jours.

Mais sachez qu’une consommation raisonnable de café peut avoir des effets positifs sur le long terme, comme l’ont montré de nombreuses études. Le café pourrait ainsi réduire les risques de développer certaines maladies, comme le cancer du colon, la cirrhose, ou encore la maladie de Parkinson et même d’Alzheimer. Il est également bon contre les calculs biliaires, l’asthme, et les maux de tête.

Lu sur maxisciences.com

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posté le 3-juillet-2015
"Pour choisir ses aliments, mieux vaut rester à l’écoute de ses sensations"

Dr Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition de l’institut Pasteur de Lille, rappelle que manger est un acte complexe et critique l’étiquetage de la valeur nutritionnelle des produits.

Quelle attitude adopter face à la cacophonie des messages nutritionnels ?

Jean-Michel Lecerf : D’abord, aucun aliment ne doit être considéré comme indispensable. Il n’y a pas d’aliment magique qui contiendrait tout ce dont notre organisme a besoin. Il faut revenir à deux principes essentiels : la diversité et la modération. En pratique, cela revient à varier son alimentation.

Il faut aussi diversifier, c’est-à-dire alterner les aliments d’une même famille et surtout en varier les préparations. Par exemple penser au court-bouillon ou à la cuisson à l’étouffée. Et faire preuve de modération, en particulier envers les aliments gras, salés et sucrés. Ces bonnes habitudes ne dispensent pas d’une activité physique régulière.

En quoi le plaisir est-il garant d’une alimentation équilibrée ?

Jean-Michel Lecerf : Manger est un acte complexe lié aux besoins de l’organisme mais aussi aux habitudes familiales et culturelles. L’appétit est donc spontané mais aussi sous influence. Des signaux biologiques contrôlent la prise de nourriture, comme les hormones leptine et ghréline qui sont également impliquées dans l’augmentation ou la diminution du plaisir de manger en fonction des besoins énergétiques. Il faut donc rester à l’écoute de ses sensations.

Ces signaux peuvent cependant être perturbés lorsque la sensation de plaisir devient un but en soi. Mais aussi lorsqu’il y a contrôle abusif et permanent. Les régimes à répétition sont les principaux responsables de la perte de sensation alimentaire : ceux qui les suivent ne savent plus comment se nourrir.

Sommes-nous tous génétiquement égaux devant l’appétit ?

Jean-Michel Lecerf : Tout semble indiquer que nous ne sommes pas tous dotés de la même capacité à réguler notre appétit. Des travaux, qui n’en sont encore qu’à leurs débuts, devront expliquer comment plusieurs facteurs (leptine, ghréline, gènes Mcar et fto) influent sur la régulation du comportement alimentaire.

Le projet d’étiquetage "vert, orange, rouge" indiquant la qualité nutritionnelle des produits est-il une bonne piste ?

Jean-Michel Lecerf : Ce projet risque de ne pas apporter les bénéfices nutritionnels escomptés et de se révéler plus stigmatisant pour les consommateurs que pour les industriels ! Ces derniers n’hésiteront pas à casser les prix pour vendre des produits estampillés rouges, donc "mauvais" pour la santé. Résultat : seules les personnes aisées s’en détourneront, contrairement aux foyers modestes, déjà les plus exposés au surpoids et à l’obésité, qui continueront à en acheter tout en le taisant, par honte. Car la moralisation de l’alimentation peut facilement dériver vers la culpabilisation. C’est l’inverse de ce que l’on veut obtenir !

De plus, la question de la pertinence nutritionnelle de ce projet se pose. Ainsi, ce n’est pas parce qu’un aliment est calorique qu’il doit être exclu de l’alimentation. Exemple avec le sucre : miel, fruits secs et soda en fournissent en grande quantité, mais on ne peut pas mettre tous les aliments sur le même plan. Il semblerait plus judicieux de donner des repères de fréquence de consommation conseillée. Et se pencher davantage sur les déterminants socioculturels, économiques et comportementaux qui poussent à les consommer.

Lu sur sciencesetavenir.fr

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posté le 1-juillet-2015
Entraîner son cerveau à choisir des aliments sains

Il serait possible de prendre du plaisir en faisant un régime alimentaire. Selon les chercheurs, il suffirait d'entraîner son cerveau à consommer des aliments sains.

« J’ai une furieuse envie de salade verte sans sauce pour le dîner ». Un désir qui peut paraître un peu farfelu, voire masochiste. Pourtant, une étude publiée récemment dans la revue Nutrition and Diabetes suggère qu’il est possible de devenir féru de nourriture saine. Selon cette étude, il suffirait d’entraîner son cerveau à cet effet.

Perte de goût progressive pour la malbouffe

Des médecins américains de l’université de Boston ont décidé de faire une expérience nutritive sur un groupe de 13 hommes et femmes obèses. Parmi ces personnes, 6 sont observé un régime diététique durant une période de six mois. Les médecins ont fait un IRM de leur cerveau au début et à la fin de l’expérimentation, afin d’évaluer l’évolution de leur état psychologique.
Au terme du semestre, les chercheurs ont constaté « un accroissement de la sensibilité aux aliments sains » dans le cortex frontal, zone du cerveau où se situent les addictions, des participants ayant suivi le régime. Ils « ont donc vu leur envie d’aliments sains augmenter, au détriment de la junk food », constate l’auteur principal de l’étude, le Pr Roberts.

Des résultats à confirmer

Le cerveau s’habituerait donc à long terme à consommer certains types d' aliments et pourrait transformer nos goûts alimentaires en nous donnant un penchant pour les aliments sains. Des résultats certes encourageants…mais incertains. « Des recherches plus approfondies sur une plus longue période, avec plus de participants et explorant plus de zones du cerveau sont nécessaires pour confirmer notre théorie », estime le Pr Roberts.
Mais les médecins restent optimistes face à ces découvertes. En effet, si elles se confirment, cela pourrait rendre la perte de poids par le régime alimentaire plus agréable. Car il est vrai que se priver des aliments que l’on aime sur une longue période peut être très douloureux psychologiquement ce qui aboutit bien souvent à une démission ou à une reprise de poids, une fois le régime terminé.

Lu sur pourquoidocteur.fr

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posté le 29-juin-2015
La POMME, un fruit à croquer !

Gourmande, facile à vivre, diététiquement parfaite… La pomme a décidément tout bon. Mais comment parvenir à en manger une tous les jours, et ainsi tenir le médecin éloigné, sans se lasser ? En testant les savoureuses recettes concoctées cette semaine par nos chefs sur www.ma-cuisine-ma-sante.fr

C’est un fruit vieux comme le monde et pourtant, la pomme ne cesse de nous régaler. Mariée avec des crudités, des abats ou des fromages, cette reine du sucré-salé tient toujours ses promesses. En dessert et à l’heure du goûter, elle se prête à toutes les envies pâtissières : sorbets, tartes, compotes, crumble, charlotte… Et même à l’état brut, elle est parfaite. Facile à transporter, peu calorique (54 calories/100 g), rassasiante de par sa richesse en fibres, c’est l’en-cas parfait.

Disponibles toute l’année sur nos étals, les pommes se conservent dans un endroit sombre et frais ou, à défaut, dans le bac à légumes du réfrigérateur. Evitez de les stocker près d’autres fruits : les pommes émettent de l’éthylène, un gaz qui a pour particularité de faire vieillir plus vite les fruits voisins. Pour profiter de toutes leurs vertus santé, l’idéal serait de les consommer avec la peau. Mais dans ce cas, vous devez les choisir non traitées ou les laver très soigneusement avec une brosse. Epluchées, les pommes ont tendance à brunir. Pour stopper cette oxydation, arrosez-les de jus de citron.

A chaque recette sa pomme

Suivant leurs variétés, la terre où elles ont été cultivées, les pommes ont des saveurs plus ou moins acides ou sucrées, des textures plus ou moins fondantes ou croquantes. Pour réussir vos petits plats, il est donc primordial de faire le bon choix au moment de l’achat.

En entrée : pour réussir vos associations avec des champignons, des betteraves, du céleri, préférez la Granny Smith, la Belle de Boskoop, la Melrose, la Pink lady.

En plat : la belle de Boskoop, la Reinette, la Calville sont parfaites avec du boudin noir, du magret de canard. Fondante et rustique, la Canada se prête mieux aux viandes blanches.

En dessert : pour préparer tartes, crumbles, compotes, pommes au four, allez vers la Belle de Boskoop et la Reine des reinettes. Pour les salades de fruits, préférez l’Elstar et pour les beignets, la Golden.

En jus : le mieux est la Royal Gala.

Lu sur destinationsante.com

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