En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.

ans

cm

kilos

kilos



Derniers articles
voir toutes les archives
tezzz

Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 15-juin-2015
Cirrhoses : les sodas ont des effets sur le foie

En plus d'une prise de poids rapide, la consommation de boissons sucrées pourrait être à la base de lésions irréversibles du foie.

On s’en doutait déjà un peu, mais la consommation quotidienne de boissons sucrées n’est pas bonne du tout pour la santé. Cette fois-ci, c’est une étude réalisée par des chercheurs de la Tufts University (Etats-Unis), dont les conclusions sont publiées dans le Journal of Hepatology, qui met en avant les risques de stéatose hépatique non alcoolique (SHNA) chez les consommateurs réguliers de sodas.
Cette lésion du foie, consécutive à une accumulation de graisses dans les hépatocytes, peut évoluer en cirrhose qui, elle, a des conséquences bien plus importantes.

55 % de risques en plus d'être touché par une SHNA
Les chercheurs se sont intéressés aux cas de 2 634 hommes et femmes, en majorité de type caucasien, et à leurs habitudes alimentaires. Il leur a été demandé de reporter leur consommation quotidienne de boissons sucrées et de colas (avec ou sans caféine), mais également leur usage de tabac et d’alcool.

En examinant la quantité de gras présente dans le foie des participants à l’aide de la scanographie, les auteurs de l’étude se sont aperçus que les plus gros consommateurs étaient bien plus touchés que les autres par les SHNA (environ 55 % de risques supplémentaires). Les chiffres sont les mêmes lorsque sont pris en compte le sexe, l’âge, l’IMC et le mode de vie des participants. En revanche, rien ne permet de relier ces risques de SHNA avec la consommation fréquente de soda « light ».

Aux Etats-Unis, près de 30 % de la population serait touchée par ce syndrome du « foie gras » qui, s’il se transforme en cirrhose, peut par la suite évoluer en cancer hépatique. En projetant ces résultats sur les années à venir, les scientifiques affirment que près de 50 % de la population mondiale pourrait souffrir de SHNA d’ici 2030. Le nombre de cas aurait même doublé entre 1988 et 2013.

L'explosion de l'obésité pointée du doigt
Selon une étude de 2014, les SHNA restent les maladies du foie les plus répandues dans les pays développés. En observant les courbes d’évolution, on peut souligner que l’indicateur des lésions hépatiques liées à ces pathologies suit de très près celui de l’explosion de l’obésité au sein des pays favorisés. « Si l’épidémie d’obésité est un indicateur, l’effet SHNA observé aux États-Unis pourrait avoir un écho dans le monde entier », explique Jiantao Ma, l’un des principaux instigateurs de ces travaux. Les chiffres ne sont pas optimistes, l’OMS avait récemment alerté sur une très probable épidémie d’obésité dans les années à venir.

Les chercheurs prévoient de prolonger leurs travaux afin de comprendre de quelle manière le sucre (et notamment le fructose) contenu dans certaines boissons peut provoquer de tels dommages sur le foie des consommateurs. En attendant, et avec tout le bon sens du monde, l’étude conseille aux parents de réserver ces boissons pour des occasions très spéciales, afin de ne pas habituer les plus jeunes à leur consommation régulière.

Lu sur pourquoidocteur.fr

1 commentaires Commenter

posté le 12-juin-2015
Alimentation : le bonheur n'est pas - toujours - dans l'assiette !

C'est le moment de se rappeler que le modèle alimentaire français a du bon, voire d'envisager une visite du Salon international de l'alimentation, pour connaître la composition de nos repas de demain.

"Aujourd'hui 7 milliards d'individus... 9 milliards à l'horizon 2050. Tout le monde devra pouvoir manger et y trouver du plaisir." C'est par ces mots très positifs que Nicolas Trentesaux, le directeur du groupe Sial entame l'édito de son dossier de presse, à la veille de l'ouverture du Salon international de l'alimentation (au parc des expositions Paris-Nord Villepinte). Cette manifestation, qui fête ses 50 ans, va réunir plus de 6 000 entreprises. Et le thème du "bonheur dans l'assiette" y sera décliné sous toutes ses formes.

À cette occasion, la TNS Sofres porte un regard sur un demi-siècle d'évolution des attentes et des besoins des consommateurs français en matière d'alimentation. D'une demande centrée sur le "manger plus" des années 1960, on est passé au "manger moins" dans les années 1970 avec la chasse aux kilos, puis au "manger plus vite et plus léger" des années 1980. Dans les années 1990, l'accent est mis sur le "manger juste", qui exprime la recherche d'une alimentation équilibrée et saine, avec une prise de conscience croissante de l'importance de l'alimentation sur la santé.

Depuis le début des années 2000, on assiste à la réhabilitation du plaisir gustatif. On privilégie des aliments bénéfiques pour la santé, ainsi que des produits simples, de tradition et du terroir. De nos jours, les attentes des consommateurs se résument en "manger mieux". Cette notion plus complexe recouvre la quête du plaisir, l'importance du partage et de la convivialité, la recherche de naturalité, de simplicité et de produits sains et bons pour sa santé, la sensibilité environnementale tout en alliant bien-être fonctionnel et émotionnel et produits durables.

Le spectre de l'obésité

Pour la seconde fois, le Sial propose un regard croisé sur l'innovation alimentaire face aux véritables attentes des consommateurs de différents pays. Sans surprise, le modèle français tient toujours avec ses repas structurés (nous y consacrons en moyenne 2 heures par jour) et peu de grignotage. Nous sommes très attachés au plaisir, à la convivialité, à une nourriture saine, équilibrée et variée, mais le niveau de confiance dans la qualité des produits alimentaires a perdu 8 points entre 2012 et 2014 (76 % des gens interrogés se déclarent confiants). Enfin, 6 Français sur 10 aiment découvrir de nouveaux produits.

En Allemagne, même si alimentation rime avec plaisir et convivialité, le déjeuner, voire le dîner ne sont pas toujours respectés, selon les auteurs de l'étude qui établissent un lien avec un taux de surpoids et d'obésité parmi les plus élevés (58 %). D'ailleurs, près des deux tiers des Allemands considèrent qu'ils mangent trop et un quart que leurs habitudes alimentaires ne sont pas bonnes pour leur santé. Les Espagnols, en revanche, prennent régulièrement des repas, mais ils mangent aussi souvent pendant la journée. C'est dans ce pays d'Europe que le score de confiance à l'égard de la qualité des produits alimentaires est le plus élevé et que les effets bénéfiques pour la santé d'une nutrition saine sont le plus souvent évoqués. Quant aux Britanniques, leur perception de l'alimentation est partagée entre hédonisme et nécessité et, malgré un taux important de surpoids et d'obésité (voisin de celui des Allemands), ils surveillent peu leur alimentation ou les quantités consommées.

Lu sur lepoint.fr

1 commentaires Commenter

posté le 10-juin-2015
S'il a le choix entre plusieurs plats, notre cerveau choisit le plus gras

Selon une enquête canadienne publiée dans la revue Psychological Science, le cerveau, capable de compter les calories d'un plat, aurait une tendance naturelle à choisir les aliments les plus caloriques.

Mais comment choisit-on notre nourriture ? C'est la question que s'est posée une équipe de l'hôpital neurologique de Montréal liée à l'Université McGill. Et les résultats de leur étude, publiés dans la reve Psychological Science, dévoilent une nouvelle facette de notre cerveau. Ce dernier est, selon les conclusions de cette enquête, pourvu "d'un compteur de calories" qui se met en marche dès que l'on regarde de la nourriture. Un outil naturel qui permet d'analyser directement et inconsciemment le nombre de calories d'un plat et donc sa richesse. Des éléments pris en compte par le cerveau qui a, selon l'équipe chargée de cette étude, une tendance naturelle à choisir les plats les plus caloriques.

Pour arriver à ces résultats, les scientifiques, dirigés par le neurologue Alain Dagher, ont montré les photos de 50 aliments bien connus à 29 volontaires en parfaite santé. Ces cobayes ont dû, en utilisant une échelle allant de 1 à 20, désigner la nourriture qu'ils préféraient. L'équipe canadienne leur a également demandé d'estimer le nombre de calories contenues dans chaque plat et de désigner, via un système d'enchères, les produits qui les attiraient le plus. Une experience réalisée en suivant l'activité cérébrale du panel réuni pour l'occasion.

Le cerveau craque pour les plats les plus caloriques

Alors que les participants à cette étude ont eu des difficultés à estimer la richesse des aliments présentés, ils avaient tendance à privilégier, dans leurs notes et classements, les produits les plus caloriques. "Notre étude visait à démontrer la manière dont les connaissances du contenu calorique influençaient les zones du cerveau connues pour jouer un rôle dans l'analyse et le choix de la nourriture", a expliqué Alan Dagher dans des propos repris notamment par le site Medical Daily.

"Nous avons découvert que le cerveau repérait la valeur calorique réelle des aliments. Les décisions entourant la consommation d'aliments (...) sont liées à une partie du cerveau appelée le cortex préfrontal ventromedian qui détermine la valeur calorique", a-t-il ajouté en précisant que cette étude avait été réalisée pour tenter de comprendre comment les personnes choisissaient leur nourriture afin de combattre l'obésité.

Lu sur lci.tf1.fr

1 commentaires Commenter

posté le 8-juin-2015
Manger à plusieurs, c'est bien meilleur !

Des phénomènes d'empathie produisent une amplification du goût lorsque nous mangeons à plusieurs.

Partager un repas entre amis fait partie des plaisirs de la vie. Les grandes fêtes et banquets, lors des mariages ou des occasions solennelles, donnent une saveur toute particulière à ce que nous mangeons. Plus simplement, un humble casse-croûte partagé avec quelques camarades lors d'une randonnée est ressenti différemment d'un repas solitaire.

Des scientifiques ont essayé de comprendre d'où venait ce « supplément de bonheur » lié au partage. Leurs recherches les ont conduits à une découverte étonnante : la perception du goût est littéralement amplifiée par la présence d'autres convives.
Le groupe rehausse le goût

Dans ces expériences, des sujets étaient invités à goûter du chocolat en présence d’une autre personne – un membre incognito de l’équipe –, et à livrer ensuite leur appréciation. Dans un cas, le complice de l'expérience regardait des tableaux au mur ; dans un autre cas, il mangeait également du chocolat. Dans ce dernier cas – et non dans le premier –, les sujets trouvaient le chocolat meilleur. Ainsi, le simple fait de savoir qu’une autre personne mange la même chose que vous suffit à vous faire percevoir la nourriture comme meilleure.
Meilleure ? Voire. Lorsqu'il s'agit d'un goût désagréable, il est perçu comme encore plus désagréable. C'est ce qu'ont constaté les psychologues en donnant à leurs sujets des mets très amers. En présence d'une personne qui mangeait en même temps qu'eux, ils ont trouvé la nourriture encore plus mauvaise !

Une cumul de sensations

Donc, manger à plusieurs, c'est bien, mais mieux vaut soigner le menu. Reste à savoir comment apparaît cet effet d'amplification perceptive. Nos sens semblent suractivés par la présence d’autres personnes partageant la même expérience. Selon les auteurs de cette étude, cet effet résulte probablement d’une superposition de notre perception personnelle et de notre empathie envers la perception de nos voisins. En effet, lorsque nous voyons une personne éprouver du plaisir (ou du désagrément), que ce soit en mangeant ou en regardant un film à la télévision, nous percevons une partie de ce plaisir ou de ce déplaisir, parce que les mêmes zones sensorielles s’activent (par empathie) que si nous goûtions réellement ce mets ou voyions ce film. Lors d’une expérience partagée, cette activation « par empathie » s’ajoute donc à notre perception sensorielle directe, créant un effet cumulatif. Comme dit l’adage : plus on est de fous, plus on rit.

Lu sur cerveauetpsycho.fr

0 commentaires Commenter

posté le 5-juin-2015
Alcool : indiquer les calories sur les bouteilles encourage à moins boire

Une étude anglo-saxonne suggère de préciser les calories sur les boissons alcoolisées, pour en réduire la consommation et l'obésité. Et deux tiers des britanniques y serait favorables.

Lors d'une soirée alcoolisée, on consomme 400 calories de moins quand les boissons comportent des informations nutritionnelles sur le nombre de calories, que lorsque rien n'est précisé.

Telle est la conclusion de l'étude de la Royal Society of Public Health (RSPH), qui demande l'introduction d'étiquettes précisant les calories sur les emballages d'alcool, pour faire diminuer le tour de taille des anglais et leurs consommations à risques.

D'après les auteurs, rares sont les gens qui savent qu'un grand verre de vin peut contenir autant de calories qu'un beignet, soit 150 à 200.

Sur 2 000 personnes sondées pour l'étude, 80% n'avait aucune idée ou mésestimaient le nombre de calories présentes dans un verre d'alcool. 90% des participants ne savaient pas, par exemple, qu'une pinte de bière blonde (0,5L) équivalait à 180 calories.

Pour autant, deux tiers des sondés se sont dits favorables à la mise en place d'étiquettes à propos des calories sur les emballages d'alcool.

Selon la RSPH, une telle mesure permettrait de contrer l'épidémie d'obésité qui sévit en Grande-Bretagne, et de réduire la surconsommation d'alcool, comme le phénomène dangereux nommé « binge-drinking ».

Consommer en connaissance de cause

Lors de l'expérience, les buveurs ayant eu accès aux nombre de calories des boissons ont consommé moins de boissons très caloriques ou ont bu moins d'alcool que ceux qui n'ont pas eu d'information.

D'après la RSPH, 10% des calories quotidiennes des consommateurs d'alcool proviennent de boissons alcoolisées. Dans ce sens, une réduction des calories obtenues via l'alcool pourrait faire une réelle différence sur le tour de taille moyen de la population anglo-saxonne.

« Les étiquettes de calories ont été introduites avec succès à un large éventail de produits alimentaires, et il y a désormais clairement une volonté des consommateurs de voir cette mesure étendue à l'alcool, pour que les gens fassent des choix éclairés » a déclaré Shirley Cramer, directrice exécutive de la RSPH.

La commission européenne envisage de rendre obligatoire une telle étiquette, et rendra sa décision publique en décembre prochain.

En vertu de la législation européenne actuelle, les boissons alcoolisées ne sont pas reconnues comme des aliments, et sont donc exemptées de l'étiquetage soumis à l'alimentation générale.

Lu sur topsante.com

1 commentaires Commenter

Contactez nous du lundi au vendredi
de 9H00 à 18h00

0 820 202 811
Disponible sur Internet, la méthode MentalSlim est à la portée de tous ceux qui souhaitent en finir pour de bon avec leurs kilos en trop ! COMBIEN CA COUTE