En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intérêt. En savoir plus et gérer ces paramètres.

ans

cm

kilos

kilos



Derniers articles
voir toutes les archives
tezzz

Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 5-mai-2015
La présence d'allergènes dans les aliments devra être indiquée dès le 1er juillet

Cette nouvelle disposition issue d'un texte européen, et publiée dimanche au Journal Officiel, "vise à permettre aux consommateurs allergiques d'être informés du risque qu'ils peuvent courir", selon la secrétaire d'Etat en charge du dossier

Finies les mauvaises surprises. La présence de substances allergènes dans les denrées alimentaires devra être indiquée dès le 1er juillet sur les emballages ou aux professionnels les utilisant, selon une disposition dont la secrétariat d'Etat à la Consommation a précisé les modalités, mardi 21 avril. La présence de 14 allergènes, substances provoquant des allergies ou intolérances, devra être "indiquée sur l'étiquetage" de denrées préemballées ou précisée "obligatoirement par écrit" pour les denrées non préemballées, notamment "servies par les cantines, restaurants, traiteurs, rayons à la coupe des hypermarchés et supermarchés".

"Choisir les aliments en connaissance de cause"
Cette nouvelle disposition issue d'un texte européen, et publiée dimanche au Journal Officiel, "vise à permettre aux consommateurs allergiques d'être informés du risque qu'ils peuvent courir", assure Carole Delga, la secrétaire d'Etat en charge du dossier. Ils pourront ainsi "choisir, en connaissance de cause, les aliments qui leur conviennent et, le cas échéant, d'écarter ceux qui ne correspondent pas à leur régime alimentaire".

Concernant les aliments non préemballés, "l'Etat français a choisi de laisser le libre choix aux opérateurs d'utiliser le système qui leur convient le mieux". Pour des produits en vue d'une consommation immédiate, l'information doit être signalée "à proximité immédiate de l'aliment", sur les vitrines de magasins par exemple. Enfin, pour les aliments utilisés dans la restauration collective, "les professionnels devront tenir à jour un document écrit sur la présence d'allergènes dans les plats proposés". Il devra pouvoir "être facilement accessible pour le consommateur" s'il en fait la demande.

Lu sur francetvinfo.fr

1 commentaires Commenter

posté le 28-avril-2015
Ce que le sucre fait à votre cerveau : mémoire, dépression, stress ou encore sénilité, on fait le po

C’est bien connu, le sucre est mauvais pour la ligne et pour le cœur. Mais ce qu’on ignorait, c’est qu’il a aussi un effet négatif sur le cerveau. Plusieurs études soulignent qu’une surconsommation de sucre altère aussi bien les fonctions cognitives que notre bien­-être psychologique.

Bien sûr, en petites quantités, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Mais la plupart d’entre nous en consomment trop : on en trouve dans 74 % des plats industriels vendus en supermarché, sous différentes appellations (glucose, fructose, miel, sirop de maïs, etc.). L’Organisation mondiale de la santé préconise de ne pas dépasser 5 % des apports journaliers en calories.

Certes, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi le sucre nous rend accros, mais nous devons réellement prendre conscience des risques que les régimes à forte teneur en sucre font peser sur nos fonctions cérébrales et notre bien-­être mental.

Voici quelques informations sur les dangers de cette surconsommation pour notre cerveau.

Le sucre génère des envies irrépressibles

Comme n’importe quel aliment, il active les récepteurs du goût situés sur la langue. Ceux­-ci envoient des signaux au cerveau pour qu’il active le système de récompense et libère des hormones comme la dopamine. Or le sucre "prend le contrôle de ce système de récompense", explique le neuro-scientifique Jordan Gaines Lewis. Stimuler de temps en temps son cerveau avec un carré de chocolat est bien agréable et probablement inoffensif. Mais quand on le fait trop souvent, cela cesse d’être anodin.

"La suractivation entraîne toute une série de réactions néfastes. On peut être pris d’envies irrépressibles, par exemple, ou devenir moins sensible à la surconsommation de sucre", racontait la neuro-scientifique Nicole Avena dans une conférence TED. Des études ont d’ailleurs montré que le cerveau des enfants obèses réagissait différemment au sucré, et que leur système de récompense alimentaire était plus développé. Ce qui les prédisposerait à ressentir toute leur vie de fortes envies de sucre.

Il affecte la mémoire et nos capacités d’apprentissage

En 2012, une étude menée sur des rats à l’Université de Californie­ à Los Angeles a conclu qu’un régime riche en fructose ralentissait littéralement le cerveau, ce qui avait pour conséquence de perturber les facultés d’acquisition et de mémorisation. Les synapses des rats qui en avaient trop consommé étaient abîmées et la communication entre les cellules du cerveau s’en trouvait altérée.

Les rats développaient par ailleurs une résistance à l’insuline. Cette hormone, qui régule le taux de glucose dans le sang et les fonctions des cellules du cerveau, renforce également les connexions synaptiques. Les cellules peuvent ainsi mieux communiquer et enregistrer les informations. La surconsommation de sucre se traduit donc par une détérioration des fonctions cognitives liée à la baisse de la production d’insuline.

"L’insuline joue un rôle important dans la régulation de la glycémie, mais elle a peut­-être l’effet inverse sur le cerveau. Notre étude indique qu’une alimentation riche en fructose a un impact négatif sur le corps mais aussi sur le cerveau. Cela n’avait encore jamais été établi", déclare le Dr Fernando Gomez­Pinilla, directeur de l’étude.

Il peut entraîner un état dépressif ou de stress

Si vous avez déjà été en hypoglycémie, ces symptômes vous sont sans doute familiers : irritabilité, changements d’humeur, fatigue, confusion... Ils sont liés aux variations brutales du taux de sucre dans le sang : quand on mange un donut ou qu’on boit un soda, ce taux augmente brusquement, avant de chuter tout aussi vite, entraînant stress, mauvaise humeur ou déprime.

Mais les aliments riches en sucre et en glucides stimulent aussi la production de sérotonine, un neurotransmetteur qui améliore le moral. Elle n’est cependant disponible qu’en quantité limitée, et ne peut répondre à une suractivation permanente.

Selon le Dr Datis Kharrazian, expert en médecine fonctionnelle et auteur de Why Isn’t My Brain Working? ("Pourquoi mon cerveau ne fonctionne­-t-­il pas?"), ceci expliquerait l’apparition des symptômes dépressifs. Les chercheurs ont aussi démontré que l’hyperglycémie chronique favorisait les risques d’inflammation cérébrale, ce qui pouvait entraîner une dépression.

Ces effets toucheraient plus particulièrement les adolescents. Une étude récente de la faculté de médecine de l’université d’Emory, menée sur de jeunes rats, a établi un lien entre la surconsommation de sucre et les comportements dépressifs et anxieux.

Il agit comme un facteur de risque dans les déficiences cognitives et la sénilité

De plus en plus d’études laissent entendre qu’une alimentation trop sucrée serait un facteur propice à l’apparition de la maladie Alzheimer. Des recherches menées en 2013 suggèrent que la résistance à l’insuline et l’hyperglycémie (caractéristiques du diabète) augmentaient le risque de développer des maladies neurodégénératives, de type Alzheimer.

Elles apportent "une nouvelle preuve que l’hyperglycémie affecte aussi le cerveau", a confirmé l’endocrinologue Medha Munshi au New York Times. Certains scientifiques vont même jusqu’à surnommer Alzheimer le "diabète de type 3". Encore un signe que l’alimentation joue un rôle dans le développement de cette maladie.

Lu sur huffingtonpost.fr

0 commentaires Commenter

posté le 24-avril-2015
CONGRÈS VIRTUEL DE L'EFT

CONGRÈS VIRTUEL DE L'EFT du 22 au 29 mai 2015

Inscrivez-vous GRATUITEMENT dès maintenant au 5ème Congrès Virtuel de l'EFT d'un seul clic.

14 spécialistes de l'EFT, médecins, psychologues, psychothérapeutes et professionnels du bien-être et du développement personnel, vous parleront de leur expérience lors d'une série d'audio-conférences en accès libre.

Plusieurs enseignants de l'IFPEC participeront à cette édition dont le Dr Julien Drouin qui pratique la médecine intégrative et utilise quotidiennement l'EFT, Gaëtan Klein, Carine Barco.

J'interviendrai le 27 mai à 19h00 sur le thème ""Quoi faire lorsque l'EFT ne fonctionne pas". 

 

LE CONGRÈS VIRTUEL DE l'EFT, c'est une fois par an et je vous y attends.


INSCRIPTION GRATUITE EN CLIQUANT ICI http://jmgurret.lecongreseft2015.com/

0 commentaires Commenter

posté le 22-avril-2015
Perte de poids : le cerveau serait capable de brûler les graisses

Brûler plus de calories et éliminer plus de mauvaise graisse en ciblant deux enzymes du cerveau seraient possible, selon les chercheurs australiens de l'Université de Melbourne.

Notre cerveau serait capable de transformer la graisse blanche (une mauvaise graisse qui fait grossir) en graisse brune qui permet de brûler plus de calories, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue scientifique Cell. Grâce à deux hormones naturelles, la leptine et l'insuline qui interagissent entre elles et qui favoriseraient cette transformation.

Les chercheurs de l'Université australienne de Monash à Melbourne ont découvert que la leptine, (hormone de satiété générée par les cellules graisseuses) et l'insuline (fabriquée par le pancréas quand le taux de sucre dans le sang augmente) agissent de concert pour que les neurones du cerveau transforment la graisse blanche en brune et brûle ainsi plus de calories.

"Ces hormones donnent au cerveau une idée précise des graisses présentes dans le corps", explique le professeur Tiganis du département de biochimie et de biologie moléculaire de l'Université de Melbourne et auteur de l'étude. "Parce que la leptine est produite par les cellules de graisse, elle permet de mesurer les réserves de graisses. Plus la graisse est présente, plus on trouve de leptine. L'insuline, elle, permet de connaître à l'avance les futures réserves de graisses car le taux de glucose augmente quand on mange".

Les chercheurs ont observé que, lorsque les enzymes appelées phosphatases étaient réduits, la graisse brune était créée en plus grande quantité et qu'un plus grand nombre de calories étaient alors brûlées.

Un avenir thérapeutique

Les conclusions de cette étude sont encourageantes, mais pour garder un poids de forme, pas question de laisser tomber les règles nutritionnelles et abandonner l'exercice physique. La mise au point des traitements qui auront l'effet magique de faire perde du poids aussi facilement n'est pas pour demain même si les scientifiques y travaillent.

"La transformation de la graisse blanche en graisse brune constitue une approche intéressante dans le développement d'agents d'aide à la perte de poids", explique le Professeur Tony Tiganis. "Nous pensons être capable, à terme, d'aider les gens à perdre du poids en ciblant ces deux enzymes", conclut le chercheur.

Lu sur topsante.com

0 commentaires Commenter

posté le 14-avril-2015
Regarder des émissions culinaires ferait grossir

Cuisiner à la manière et selon les recettes des candidats des émissions culinaires ferait grossir, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue scientifique Appetite.

Faut-il arrêter de regarder Top Chef pour garder la ligne ? Car s'inspirer des créations culinaires des concurrents ferait prendre du poids.

Les chercheurs de l'Université de Vermont (Etats-Unis) ont réalisé une enquête avec 500 femmes âgées de 20 à 35 ans pour évaluer l'impact sur le poids des émissions culinaires.

Après les avoir interrogées sur leur poids, leurs habitudes gastronomiques et télévisuelles, les scientifiques ont constaté que les femmes qui cuisinent chez elles les recettes proposées par les émissions culinaires ont un Indice de Masse Corporelle (IMC) plus élevé que celles qui ne suivent pas les recommandations et les recettes des candidats. Ces téléspectatrices pèseraient 5 kilos de plus que celles qui s'inspirent de recettes familiales, de proches, trouvées sur Internet ou dans un livre.

« Les émissions culinaires normalisent la surconsommation. Il n'est pas surprenant que les habitudes alimentaires des spectateurs soient influencées de manière négative. Il est important que les personnes qui aiment regarder ces émissions prennent conscience de ces influences et apprennent à modifier les recettes pour les rendre plus saines », explique Lizzy Pope, professeur adjoint et directrice du programme de diététique de l'Université de Vermont et auteure principale de l'étude.

La télévision pour changer les habitudes culinaires

Les émissions culinaires influencent donc les habitudes des téléspectatrices. Elles pourraient donc être utilisées à bon escient. «Promouvoir une alimentation saine et équilibrée dans ces émissions pourrait dès lors influencer de manière positive le poids des téléspectateurs », concluent les chercheurs. « S'il y avait davantage d'émissions montrant que des recettes plus saines peuvent avoir l'air bon et être savoureuses, cela aurait un impact sur la santé publique. Ils doivent se rendre compte qu'ils sont des modèles et qu'ils ont un rôle à jouer dans la lutte contre l'obésité. »

Lu sur topsante.com

3 commentaires Commenter

Contactez nous du lundi au vendredi
de 9H00 à 18h00

0 820 202 811
Disponible sur Internet, la méthode MentalSlim est à la portée de tous ceux qui souhaitent en finir pour de bon avec leurs kilos en trop ! COMBIEN CA COUTE