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Blog de Jean-Michel Gurret

Suivez l'actualité de votre coach avec ce blog !
Jean-Michel Gurret partage avec vous ses journées, ses exercices, ses conseils minceur, et ses recettes préférées.

posté le 28-mai-2008
A propose de la rencontre du 13 juillet


Je sais que plusieurs discussions ont été crées autour de la rencontre organisée par Delfinn et j'avais envie d'y mettre mon grain de sel. Plusieurs personnes m'ont contacté par le biais des questions personnelles pour savoir si je serais parmi vous. Alors j'ai décidé de centraliser les réponses dans ce post d'abord pour vous dire que ma réponse est oui et qu'ensuite un petit clic ici de la part de ceux qui viennent serait bien pratique pour faire une estimation.

Cette grande rencontre estivale est organisée le Dimanche 13 juillet 2008, à Doubs, un joli petit village à côté de Pontarlier dans le haut doubs. Tous les forumers y seront les bienvenus.

IL est temps maintenant de concrétiser l'organisation de cette journée alors :

A VOS INSCRIPTIONS : faites vous connaitre sur treizejuillet2008@yahoo.fr
(et n'oubliez pas de commenter cet article pour vous faire connaître)

et en retour Delfinn vous renverrai une brochure avec bulletin d'inscription à découper et à lui renvoyer.

Au plaisir vous voir ou de vous revoir !

Florence
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posté le 27-mai-2008
Le lait : ami ou ennemi ?

Une problématique a été soulevée sur notre site suite à un post de Jean-Michel. J'aborde ce sujet en semaine 17 et pour ceux qui n'en sont pas à ce stade voici ce que je disais. Vous verrez que je peux être d'accord avec Jean-michel qui vous a informé que le lait pouvait être sujet à discussion mais qu'en même temps je reste modérée sur toutes les théories qui nous sont proposées. Nous avons connu des périodes où le pain a été bânni tout comme nous avons connu des périodes où il était recommandé de manger dissocié (que des légumes ou que de la viande lors d'un même repas) ou de manger en fonction de son groupe sanguin ou....

Bref, restons logiques et une fois de plus c'est l'excès qui pénalise et le recours à des aliments trop raffinés!

Pour certains le lait est un véritable trésor nutritionnel pour d'autres il serait responsable de nombreux maux. Selon les modes et les années, toutes les théories sont avancées. Mais que penser alors ?

Le lait contient un fort pourcentage d'eau (plus de 85%). Les autres composants sont des lipides, des protides, des glucides et plus précisément du lactose, des minéraux dont le calcium.

Si la consommation de lait est déconseillée c'est que pour certains les protéines et le calcium contenus dans le lait seraient difficilement assimilés par l'organisme. Les populations asiatiques consomment très peu de lait et détiennent pourtant le record mondial de longévité.

Des études remettent en cause le lait de vache et ses bienfaits contre l'ostéoporose. Effectivement, les populations qui consomment le plus de calcium comme la France, sont les plus affectées par cette pathologie, alors qu'en Asie ou en Afrique où l'on en consomme très peu, l'ostéoporose est très rare.
Outre les facteurs génétiques, une alimentation différente, il ne faut pas perdre de vue que le calcium n'est pas le seul garant pour avoir de bon os. La pratique d'une activité sportive, l'importance de la vitamine D, la consommation de fruits et légumes, l'absence de tabac et d'alcool sont des alliés à ne pas oublier pour conserver un capital osseux satisfaisant.

Les avantages

Le lait et ses dérivés contiennent des protéines au même titre que la viande et le poisson. Il apporte des acides aminés essentiels que l'organisme ne sait pas fabriquer et qui doivent être apportés par l'alimentation. Ceci dit, les végétariens pourraient être tentés de remplacer la viande et le poisson par des laitages mais il faut savoir qu'ils contiennent peu ou pas de fer. Attention donc aux carences en fer et à l'anémie.



Le lait est riche en vitamines du groupe B mais il faut cependant savoir que plus le lait est écrémé moins il contient de vitamines. Quoiqu'il en soit une alimentation équilibrée vous assure un apport vitaminé suffisant.

Où trouvez du calcium ?

Vous pouvez trouver du calcium dans les eaux minérales ou l'eau du robinet, le lait, les oranges, les yaourts, le fromage, le chou, les amandes, le persil, les figues, le cresson, les oeufs, les crustacés et certains poissons. Ceci dit pour remplacer le calcium apporté par un verre de lait il faudrait consommer 1 kg d'orange, ce qui n'est pas très pratique vous en conviendrez.

Que penser du lait dans le cadre d'un programme minceur ?

Le lait et ses dérivés restent très intéressants dans le cadre d'un programme minceur car ils représentent avant tout une source de protéines non négligeable.
Sachez que vous pouvez trouver la même quantité et la même qualité de protéines dans le lait entier, le lait demi-écrémé et le lait écrémé. Le lait écrémé présente l'avantage d'apporter moins de matières grasses (10 fois moins) que le lait entier.

Les inconvénients

Le lait peut être indigeste s'il est mélangé avec du café. Les tanins du café au contact des sucs gastriques acides de l'estomac transforment les composants du lait en grumeaux insolubles difficiles à assimiler.

Le vrai problème du lait réside dans la présence ou plutôt l'absence d'une enzyme, la lactase capable d'assimiler et de digérer le principal glucide contenu dans le lait, le lactose. Dès que l'on cesse de consommer du lait cette enzyme disparaît de notre organisme et nous ne sommes plus alors en mesure de digérer le lait.
De ce fait, lors d'une consommation occasionnelle de lait, une intolérance peut se manifester par différents symptômes comme des ballonnements, des diarrhées, des maux de ventre.



Certains auteurs rendent le lait responsable de rhinites du fait de l'intolérance aux protéines du lait ou au lactose. Cette intolérance provoquerait une inflammation de la muqueuse intestinale qui communique avec les muqueuses de l'appareil respiratoire et serait responsable de l'inflammation à l'origine des rhinites et d'autres affections ORL.

Que faire si l'on veut profiter des avantages du lait alors qu'on ne le digère plus ?
Vous avez la possibilité de consommer des laitages comme les yaourts, le fromage blanc, le fromage sec et les petits suisses.

Quoi qu'il en soit si vous appréciez le lait et que vous le digérez, n'hésitez pas à en consommer. Si vous ne l'appréciez pas ou ne le digérez pas, dites-vous que ce n'est pas grave et que vous ne risquez aucune carence en consommant ses dérivés et en conservant une alimentation équilibrée !


Florence Guérin


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posté le 23-mai-2008
Retrouvez-nous à l’occasion du séminaire minceur à Tours le week-end du 20 et 2


Ca y est, c'est lancé. ! Nous avons réservé une salle le week-end du 20 et 21 septembre au Grand Hôtel (notre photo) 9, place du Maréchal Leclerc, 37000 TOURS. Vous trouverez toutes les infos sur l'hôtel à l'adresse suivante : http://www.legrandhoteltours.com . Tél. : +33 (0) 2 47 05 35 31. Fax : +33 (0) 2 47 64 10 77.

Voici en résumé le timing 

  • Accueil bio le samedi 20 septembre à 9h00 et première session jusqu'à 13h00 (avec une pause bio).
  • Déjeuner en commun sans alcool bien sûr ! (compris dans le prix du séminaire)
  • 14h30 : reprise du séminaire jusqu'à 19h00.
  • Le dimanche : matinée de 9h00 à 13h00 et fin du séminaire. Et pour celles et ceux qui le souhaitent, déjeuner en commun (en plus)
  • A partir de 15h00 : accueil gratuit des personnes qui souhaitent des informations sur notre programme on-line, jusqu'à 17h00 : témoignages, partage d'expérience.

Le coût du séminaire de 180 euros TTC comprend la journée et demi + le déjeuner du samedi + les pauses bio.

Ce séminaire s'adresse à toutes les personnes qui le souhaitent, participantes ou non à notre programme.

Pensez à réserver cette date sur vos agendas dès aujourd'hui et également vos chambres si vous souhaitez être logé(e)s sur place.

Je vous communiquerai le détail du programme plus tard : le thème des relaxations, la manière de traiter les compulsions, le travail sur les croyances... Rien que du bonheur !

A bientôt,

Jean-Michel Gurret

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posté le 19-mai-2008
L’air, notre premier « aliment »

Les humains peuvent se passer de manger pendant plusieurs semaines, de boire pendant plusieurs dizaines d'heures mais de respirer pendant à peine quelques minutes pour les plus entraînés d'entre nous. Et paradoxalement nous accordons bien peu d'importance à l'air que nous respirons ni comment nous respirons...

 

Dans le langage courant, la respiration désigne à la fois les échanges gazeux (rejet de dioxyde de carbone, « le CO2», et absorption d'oxygène) et la respiration cellulaire qui permet en dégradant du glucose grâce au dioxygène, d'obtenir de l'énergie. Les échanges gazeux assistent la respiration cellulaire en lui fournissant l'oxygène et en le débarrassant du dioxyde de carbone produit.

Au cours d'une inspiration normale, environ un demi-litre d'air pénètre dans les poumons qui augmentent alors légèrement de volume. Au cours d'une expiration, le même volume d'air sort des poumons.

La capacité respiratoire (la contenance des poumons) d'une femme sédentaire est d'environ 3 litres, de 4 à 6 litres chez un homme ayant une activité physique quotidienne et jusqu'à 8 litres chez les sportifs de haut niveau.

La respiration est une fonction qui est automatique, gérée par votre inconscient (vous ne pensez pas à respirer !) et qui est juste suffisante pour maintenir la vie. Il est pourtant simple de l'améliorer et de bénéficier de ses bienfaits de manière quasi-immédiate.

Lors d'une respiration en mode automatique, vous ne renouvelez que de 20 à 30% de l'air contenu dans vos poumons. Ce qui signifie que 70 à 80% de l'air ne changent pas...

Or, plus la respiration est profonde, plus elle apporte de l'énergie à votre corps. C'est au niveau des poumons que le sang se charge d'oxygène afin d'éliminer ses déchets et de les rejeter sous forme de CO2.

En améliorant votre respiration, vous apportez plus d'oxygène à votre corps (l'air que nous respirons n'en contient que seulement environ 20%). Il faut savoir que votre cerveau à lui seul en consomme un tiers. Donc, mieux vous respirez et mieux votre cerveau fonctionne !

C'est la raison pour laquelle dans la quasi-totalité des enregistrements sonores de notre programme nous vous suggérons une détente centrée sur votre respiration. Une bonne ventilation permet une plus grande relaxation, une plus grande focalisation sur vos pensées et donc une plus grande suggestibilité qui est favorable à l'atteinte de votre objectif minceur.

 

La respiration abdominale ( ou ventrale)

Observez bien les bébés et les jeunes enfants et voyez comment ils respirent naturellement avec le ventre ! Les adultes eux ont progressivement oublié ce savoir faire inné. Respirer avec le ventre est essentiel pour masser l'abdomen. Cela relance le mouvement de motricité digestive des intestins et stimule les organes. Une bonne respiration abdominale va libérer la zone du plexus solaire, souvent durcie et nouée par des tensions émotionnelles. Respirer par le ventre vous permettra de maintenir votre détente corporelle générale et éliminera progressivement les tensions installées.

Je vous propose de redécouvrir cette respiration naturelle d'une manière très simple.

 

Installez-vous dans un local bien ventilé (encore mieux à l'extérieur si vous pouvez)

Disposez un tapis de gymnastique au sol ou allongez-vous sur une surface confortable.

Placez vos mollets sur l'assise d'une chaise (ou équivalent) afin de faire un angle droit entre votre dos, vos cuisses et vos mollets, comme sur notre photo.

Placez votre main sur votre abdomen, vous le sentirez bouger.

Inspirez lentement par le nez, d'une manière fluide, profondément mais sans forcer. Sentez votre ventre se gonfler comme un ballon. La poitrine, elle, reste quasiment immobile.

Puis expirez toujours par le nez, en douceur, sans jamais forcer. Votre ventre se dégonfle sans effort.

Pratiquez cette respiration au moins dix minutes par jour, ou bien en écoutant vos enregistrements.

Dans cette position, le sang et la lymphe contenus dans les jambes affluent dans le tronc. Les échanges sont optimisés au maximum. Vous bénéficiez aussi d'un véritable massage abdominal qui aura des conséquences très favorables sur votre transit intestinal.

 

En résumé :

1.   Allongez-vous sur le dos, les jambes à l'équerre

2.   Posez votre main sur votre abdomen et inspirez par le nez en douceur et profondément

3.   En expirant par le nez, laissez le ventre se dégonfler en douceur

4.   Poursuivez cet exercice durant une dizaine de minutes chaque jour.

 

Cette méthode très simple vous permettra pour seulement une dizaine de minutes par jour de :

  • Rétablir une meilleure oxygénation du sang et ainsi d'éliminer plus rapidement les toxines et de favoriser la combustion des graisses.
  • Mieux alimenter les cellules de votre corps
  • Réguler et stimuler votre circulation lymphatique
  • Profiter d'une oxygénation équivalente à plus de 40 minutes de marche en plein air
  • Tonifier vos muscles abdominaux
  • Relâcher vos tensions
  • Favoriser la circulation de l'énergie dans votre corps
  • De nombreuses personnes m'ont également signalé une diminution des céphalés, un sommeil de meilleure qualité, des règles moins douloureuses, etc.

Jean-Michel Gurret




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posté le 14-mai-2008
Le lait, une sacrée vacherie !




Le docteur Nicolas le Berre a publié sous ce titre provoquant un livre, aux éditions Equilibres Aujourd'hui, qui montre que de nombreuses pathologies (allergies, problèmes de la sphère ORL et pulmonaires) disparaissent avec l'arrêt de la consommation de produits laitiers. De nombreux autres médecins et naturopathes sont de son avis et conseillent de réduire voire de stopper sa consommation.


L'homme est le seul mammifère qui se nourrisse d'un lait qui n'est pas celui de son espèce et qui continue à le faire à l'âge adulte... Serions-nous donc le seul animal contraint à boire du lait pour bien se porter ?

A grand renfort de campagnes publicitaires, le lait est très souvent présenté comme l'aliment indispensable et tout à fait adapté à nos besoins. C'est parfaitement vrai pour le lait maternel et le petit bébé d'une part, pour le lait de vache et le petit veau d'autre part.

Mais aucun lait n'est semblable à un autre, donc aucun lait ne peut vraiment en remplacer un autre (d'une autre espèce) sans créer des problèmes.

Et le lait bio?

Nous avons prs depuis 50 ans, la manie de surconsommer du lait (en particulier de vache) d'une façon ahurissante mais socialement banale puisque tout le monde le fait. Qu'il soit bio ou non ne change pas grand-chose en fait, bien qu'à l'évidence il vaille mieux consommer des produits bio (non UHT) puisqu'ils apportent ainsi moins de molécules anormales (herbicides, pesticides...), mais il n'en reste pas moins que, même bio, le lait de vache n'est pas mieux adapté à la physiologie humaine, souligne Nicolas Le Berre.

La question du calcium

Il est surprenant de constater que dans les pays les plus gros consommateurs de lait, le pourcentage de problèmes d'ostéoporose est le plus élevé. Et le record de fractures du col du fémur revient aux Norvégiens qui sont pratiquement les plus gros buveurs de lait de la planète.

Dans le cadre de l'alimentation occidentale, largement pléthorique, le seul argument que l'on puisse raisonnablement défendre en faveur du lait sur le plan nutritionnel est l'apport calcique. Cependant, le lait et ses dérivés ne sont pas indispensables et un apport suffisant peut être assuré par de nombreux aliments, en particulier végétaux, qui ont l'avantage d'amener peu de calories et de mauvaises graisses mais beaucoup d'antioxydants et de fibres qui aident le bon fonctionnement de notre organisme (légumes verts dont les choux, amandes, sésame...).

Il n'est pas prouvé qu'un apport calcique excessif ne soit pas nocif même pour l'os, surtout s'il est accompagné d'un excédent de protéines animales et de sucre, tous très acidifiants et donc consommateurs de calcium, ce qui est le cas pour le calcium du lait. Une étude présentée dans le British Medical Journal en février 2008 sous le titre « le calcium bon pour l'os, mauvais pour les artères », vient de prouver que, chez la femme ménopausée, un supplément calcique aggrave les accidents cardiovasculaires.

S'il est vrai qu'une alimentation occidentale banale sans aucun produit laitier risque de ne pas apporter assez de calcium (environ 500 à 600 mg), une alimentation bien pensée avec des végétaux variés en amènera 600 à 800 mg, ce qui est suffisant si les autres aspects du métabolisme calcique sont respectés, à savoir :

- pas d'excès massif de protéines animales, de sel et de sucre, surtout blancs ;

- un apport minéral varié avec magnésium et silice, donc des végétaux frais ;

- une fabrication suffisante de vitamine D, donc une alimentation comportant des bonnes graisses ;

- une activité physique suffisante et de préférence, au moins en partie, en plein air (une bonne peau fabrique de la vitamine D en absorbant les rayonnements solaires).

L'exemple crétois et japonais

De nombreuses personnes qui ont supprimé les produits laitiers, constatent dans le mois qui suit une amélioration notable de leur état de santé avec plus de vitalité.

Des arguments épidémiologiques nous incitent aussi à douter fortement de l'aspect santé de ce produit. Lors des grandes études menées depuis 1950, les deux régimes santé les moins contestés sont le régime crétois (le vrai !) et le régime japonais, en particulier d'Okinawa. Ces deux modes alimentaires excluent totalement les produits laitiers de vache. Le premier comporte des produits de chèvre (bio), le deuxième pas. Dans ces populations, il y a en particulier beaucoup moins de problèmes cardiovasculaires et de cancers et jamais il n'a été noté plus de fractures bien que la longévité active et souriante y soit plus accentuée que chez nous.

Si enfin on examine la carte mondiale des affections cardiovasculaires, des cancers en particulier hormonodépendants (sein, prostate), de l'ostéoporose, on s'aperçoit qu'elle correspond à celle des plus fortes consommations de produits laitiers. Ce dernier argument ne prouve certes pas que le lait soit le facteur causal de tout cela, mais il jette tout de même un doute sérieux sur le caractère «bienfaisant » d'une alimentation hyper lactée comme l'alimentation occidentale.

En conclusion gardez à l'esprit qu'il est parfaitement possible de vivre sans laitage comme en témoigne tout le monde animal.

Jean-Michel Gurret

PS : Et je n'ai même pas parlé de la souffrance des vaches laitières qui sont transformées en véritables usines à lait sur pattes ; Pour plus d'information, vous pouvez allez sur cette page qui résume la condition de ces pauvres animaux : http://www.panx.net/web/avis/page1_11.html


Pour en savoir Plus et vous détourner du lait...


  • Soyons moins lait, Nicolas Le Berre et Hervé Queinnec, (éditions Terre Vivante), nous recommandent de nous méfier du lait qui peut nous rendre sérieusement malade.

  • Le lait, une sacrée vacherie ! Nicolas Le Berre (éditions Equilibres Aujourd'hui).

  • Santé, mensonges et propagande, Thierry Souccar, Isabelle Robard (Thierry Souccar Editions).
    Trois ans d'enquête difficile pour ce livre accusateur !
    Thierry Souccar et Isabelle Robard dénoncent les pratiques des multinationales de l'agro-alimentaire, relayé par les instances gouvernementales. Ils s'attaquent à ces conseils nutritionnels devenus vérités premières : les laitages rendent les os plus solides, pour maigrir, il faut diminuer les graisses, et bien d'autres. Rien n'est laissé de côté : quels sont les intérêts privés en jeu ? Quel poids ont les lobbies ? Quel rôle joue la publicité ? Ce livre propose une alternative : des conseils en nutrition qui s'appuient sur les recherches les plus récentes, mais aussi un cadre susceptible de garantir, dans l'avenir, l'indépendance de l'information médicale.

  • Ce lait qui menace les femmes, Dr Raphaël Nogier (éditions du Rocher).
    De nos jours, une femme sur dix a eu, a ou aura un cancer du sein. On dénombre 23 000 nouveaux cas chaque année. Dans vingt ans, on en comptera 116 000. Pourquoi une telle recrudescence ? Le docteur Nogier avance aujourd'hui une thèse qui remet en question l'état des recherches : les maladies du sein constitueraient chez certaines femmes l'aboutissement d'un processus organique beaucoup plus général et insidieux, l'intolérance alimentaire au lait de vache. Grâce à des arguments épidémiologiques sur la relation entre la consommation de laitages et le taux de cancer, des observations cliniques et des tests biologiques spécifiques, il ouvre de nouvelles perspectives. Il a mis au point un portrait type des femmes concernées qui permet d'ores et déjà une prévention efficace.

  • Voir aussi le numéro de Biocontact du mois d'avril 2008(dossier sur le lait d'où sont extraites ces informations) BP8 - 81601 Gaillac Cedex.

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